VOUS :
nom/prénom: Corentin
age: 25
localisation: Espoo (Finlande)
loisirs: Oui
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VOTRE PERSONNAGE :
pseudo : Zuzurp
age: 13(vivant) + 2 (mort)
race: Mort-Vivant
physique :
Les lambeaux de chaire attachés au squelette de Zuzurp pourraient se compter sur les doigts d'une main, mais pour être sûr, il vaut mieux séparer les phalanges de ladite main, ca permet de compter plus loin. Ces lambeaux de chaire font aussi que dans une pièce, on repère très vite Zuzurp, à l'odeur de décomposition. Il est plutôt petit et la force de son crâne ainsi que l'agencement de ses os ne laissent aucun doute. De son vivant, Zuzurp était un skaven.
Zuzurp ne porte qu'une arme simple ramassée au sol et un bouclier du même accabit.
mental :
Zuzurp n'a plus que de vagues souvenirs de ce que c'était d'être vivant. La seule chose dont il se souvient clairement, c'est de l'absence de peine et de souffrance de cette âme essayant de s'échapper. La simple vue d'un être vivant lui est maintenant difficile. Une haine profonde l'envahi à leur vue et il est difficile pour lui de voir un être heureux et entier sans penser à sa propre souffrance. La seule réponse à cette souffrance étant de terminer le bien-être des autres.
histoire personelle:
Zuzurp était uin skaven de son vivant. Mais il n'a aucun souvenir de cette époque. Il a été ramené à la vie par un nécromancien particulièrement doué, mais aussi complètement dément. Ce mage a réussi à ramener l'âme de Zuzurp et à la rattacher à ce qui restait de son corps. C'est un processus particulièrement douloureux pour une âme, et d'autant plus quand la séparation a été assez longue pour permettre aux chaires de se décomposer presque dans leur entièreté.
La première victime de Zuzurp fut ce nécromancien qui l'avait ramené. En voyant la souffrance de sa création et en voyant que la décomposition ne s'était pas arrêtée comme il l'avait prévu, le mage a voulu libérer l'âme de son enveloppe mortelle. Etrangement, l'âme de Zuzurp n'a pas voulu retourner parmi les morts. Une forme d'instinct de survie doit être plus forte que la douleur d'être rattachée à un squelette en décomposition. Le nouveau mort-vivant s'en est donc pris à son créateur.
Depuis, la créature ère sur la plaine, attendant de rencontrer son destin.
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